Société

Armes légères, l’UNREC à la rescousse

Pas chères, facile à transporter et à dissimuler, le trafic d’armes légères connaît une courbe exponentielle en Afrique de l’Ouest. Pistolets ou fusils mitrailleur proviennent des zones de conflit ou de pays ayant connu des guerres civiles. Elles sont utilisées pour commettre des attaques à main armée ou pour terroriser la population.

Conscient de ce problème, le Centre régional pour la paix et le désarmement en Afrique (UNREC), basé à Lomé, a lancé de nombreuses initiatives dont l’une des plus récentes est l’identification et le traçage rapide et fiable des armes légères et de petit calibre illicites.

Une rencontre régionale se déroule depuis mardi à Lomé sur ce thème.

L’UNREC veut aider les Etats à renforcer leur capacité dans l’utilisation des meilleures pratiques pour la mise en place d’un programme national de marquage d’armes. C’est également une occasion d’échanges et de partage d’expériences pour les participants sur les pratiques et les défis liés au marquage des armes, à la tenue des registres et à leur traçage, indique un communiqué publié par l’organisation.

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