Société

L’excision en chute libre au Togo

La Journée internationale de la tolérance zéro pour les mutilations génitales féminines, s’est déroulée lundi au Togo et à travers le monde.

Aujourd’hui encore, trois millions de petites filles sont excisées chaque année dans le monde ; celles qui survivent en gardent souvent des séquelles durables. 

La mutilation génitale féminine peut, en tant que norme sociale, être abandonnée en l’espace d’une génération. 

C’est dans certains groupes de la population de différents pays d’Afrique centrale, d’Afrique de l’Ouest, du Moyen-Orient et d’Asie de l’Est que cette pratique est la plus répandue. Mais la mutilation génitale féminine continue d’être pratiquée par endroits en Amérique du Nord, en Australie et en Europe – généralement au sein de petites communautés et de certaines populations immigrées. 

Bonne nouvelle au Togo, les mutilations sont en forte regression. En 10 ans, le taux est passé de 60 à 12%.

Les Nations Unies projettent lors de la prochaine Assemblée générale d’adopter une résolution visant à interdire purement et simplement l’excision.

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