Société

Stress et pollution avant la libération

Lomé est en chantier et le trafic automobile s’en ressent. Embouteillages monstres, poussière, pollution, la vie des conducteurs est mise à rude épreuve, mais au final, d’ici un an, un réseau routier urbain qui sera en grande partie rénové.
Le trafic est tel qu’il faut parfois 40 mn pour se rendre du centre ville à la zone d’affaires de Lomé II. Jadis, un trajet qui ne prenait pas plus de 15 mn. Mais depuis 10 ans, le parc automobile a doublé, sans parler de celui des motos.
Le gouvernement a obtenu des financements pour réhabiliter les grands axes de la capitale. Le Boulevard du Mono, qui longe la mer, est achevé depuis quelques mois de la frontière du Ghana au rond-point du port ; les travaux d’extension se poursuivent.
Autre axe vital en chantier, le Boulevard circulaire. Les ouvriers s’activent pour livrer l’ouvrage dans un an.
Prévu également une route de contournement de la ville pour éloigner les semi remorques du centre ville ; ils contribuent à l’engorgement et défoncent les chaussées.
Bien sûr, les Loméens se plaignent, épuisés de subir un calvaire quotidien. Mais comment faire autrement ?
Dans le reste du Togo, d’autres réalisations sont en cours, notamment sur l’axe vital vers le Bénin et le Burkina Faso.
En photo : les travaux sur le Boulevard circulaire

Pour que ce site Web fonctionne correctement et pour améliorer votre expérience d'utilisateur, nous utilisons des cookies. Retrouvez plus d'informations dans notre Gestion des cookies.

  • Les cookies nécessaires activent les fonctionnalités de base. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies et ne peut être désactivé qu'en modifiant les préférences de votre navigateur.