Sport

La boxe, c’est tout le contraire d’un sport violent

La Fédération togolaise de boxe (FTB) multiplie les actions de promotion pour mieux faire connaître cette discipline et, si possible, susciter des vocations. Elle a organisé début novembre à Atakpamé le premier Festival de boxe et a lancé des cycles de formation pour les entraîneurs dont les 30 premiers ont reçu vendredi leur diplôme des mains de Bayor Azaad Kélani (photo), le président de la FTB. Ce dernier se félicite du soutien du ministère des Sports qui a mis la main à la poche pour financer cette formation.

Republicoftogo.com: Pas facile de donner de la visibilité à la boxe au Togo

Bayor Azaad Kélani : C’est effectivement compliqué. Raison pour laquelle nous menons ces opérations de promo. Le Festival organisé à Atakpamé a été un vrai succès avec des milliers de visiteurs ; c’est encourageant. Il faut faire connaître ce sport aux plus jeunes, directement dans les écoles pour les initier à une discipline rigoureuse qui demande beaucoup de self control. Ce son des valeurs saines.

Republicoftogo.com: La boxe à l’image d’un sport violent. Pas facile à populariser

Bayor Azaad Kélani : Contrairement à l’image véhiculée, la boxe ce n’est pas l’expression de la violence. Ne monte pas sur le ring qui veut. Il faut développer certaines qualités physiques certes, mais surtout intellectuelles. 

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