La 7e édition du Festival des divinités noires a débuté samedi à Aného. Placé sous le Thème : «Africa is back», il se déroule à Lomé, Glidji et Aného jusqu’au 23 décembre.
Le Nigeria est invité d’honneur avec plusieurs troupes parmi lesquelles les Egugun (culte Yoruba).
La première journée a été l’occasion d’assister aux spectacles de compagnies venues du Brésil, du Bénin, du Nigeria, du Togo, et du Ghana.
Pour l’association Acofin, organisateur de cet événement culturel, l’objectif est d’œuvrer à l’identification, la restauration et la promotion du patrimoine africain. Un enjeu de mémoire, d’appropriation, de réhabilitation et de valorisation.
Créé il y a 6 ans, le Festival est un espace de rencontres, d’échanges, d’apprentissage, de transmission, d’exploration et de découvertes inédites.
« Depuis 2006, l’événement s’est installé comme un des grands rendez-vous culturels africains de l’année », explique Yves Têtê Wilson- Bahun.
Pour cette édition, sont invités des troupes brésiliennes, françaises et africaines, des artistes de la chanson ouest-africaine qui donneront des concerts live. Au programme également, des défilés de mode, des exposition autour du vaudou, et la vente de produits culturels.