Le ministre du Commerce, Kodjo Adédzé, entend protéger les consommateurs en ces temps de crise sanitaire, mais pas seulement.
Depuis deux mois, les étiquettes flambent sur les marchés. On observe une augmentation des prix des produits de base.
Des contrôles sont exercés, mais les pouvoirs publics manquent d’outils fiables.
Par ailleurs, les commerçants ont recours à des instruments de mesure non certifiés. Ce qui n’arrange rien.
Un kilo de tomates vendu, peut en réalité 900 grammes, mais l’acheteur n’y voit que du feu.