Eco & Finance

Les beaux jours de l'élevage

Les techniques d'élevage restent rudimentaires

Au lendemain du coup d’envoi des travaux d’un second Institut de formation pour l’agro-Développement (IFAD), il est intéressant de porter un regard sur la santé du secteur de l’élevage.

Il se porte plutôt bien si l’on en croit Komlan Batawui, le directeur national de l’Elevage au ministère de l’Agriculture. 

Selon les statistiques officielles, de 2011 à 2017, le Togo est passé de de 1,5 millions de têtes de petits ruminants (bovins et caprins) à 4,8 millions.

En 7 ans, la production de volailles a bondi avec 22,5 millions contre 8 millions en 2011.

Le secteur de la pêche et de l’aquaculture n’est pas en reste avec 27.000 tonnes enregistrées l’année dernière ; 10.000 de mieux qu’au début de la décennie.

‘Il faut d’une part consolider les acquis et d’autre part professionnaliser le secteur. 

99,8% d’éleveurs sont dans des pratiques traditionnelles, seulement 0,2% adoptent une version améliorée", souligne Komlan Batawui.

Il met en avant la formation et la vulgarisation des techniques de production. C’est justement l’ambition du gouvernement avec les IFAD.

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