Les syndicats regroupant les enseignants des établissements privés laïcs et confessionnel du Togo demandent aux autorités la mise en place d’un cadre de négociations collectives pour évoquer la situation « de plus en plus précaire » de leurs membres.
Ils s’estiment laissés pour compte car ne relevant pas directement du secteur de l’éducation nationale, notamment pour leur rémunération.
A défait d’être entendus par les pouvoirs publics avant la fin de l’année scolaire, les syndicats envisagent des actions de protestation et de saisir les tribunaux.
Les écoles privées sont très nombreuses au Togo et prisées par les parents qui en ont les moyens.