Éducation

Tout n’est pas une affaire de droits de l’homme

Des organisations de défense des droits de l’homme, rassemblées au sein de la coalition ODDH ont demandé jeudi la libération des leaders étudiants interpellés la veille sur le campus de l’université de Kara (UK).

Le porte-parole des ODDH, Zeus Ajavon, exige la libération « sans condition et sans délai de tous les étudiants interpellés, la prise en charge par les autorités universitaires des soins médicaux et hospitaliers des étudiants blessés, le retrait immédiat et sans condition des forces de l’ordre et de sécurité de l’Université de Kara et le relèvement du Commandant Ouadja, chef du groupement de la gendarmerie de Kara».

Jeudi, les forces de sécurité avaient procédé à l’interpellation de plusieurs meneurs, dont Agnité Massama, surnommé « Guillaume Soro », Bitsioude Birénam appelé « général Bits » et Siguiba Mohamed.

L’université de Kara, au nord du Togo, a connu des troubles ces dernières semaines en raison du retard enregistré dans le paiement des allocations de secours et de bourses. Un délai lié à de simples problèmes administratifs.

Selon les responsables de l’UK tout devrait être versé d’ici quelques jours. 

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