Le procès de 11 casseurs qui devait s’ouvrir mercredi à Lomé a été reporté au 25 septembre. Ces prévenus, arrêtées en marge d’une manifestation de l’opposition en mai dernier dans la capitale, sont accusés de violences volontaires et de destruction de biens publics. Ce que réfutent leurs avocats. Ils demeurent en détention.