L’affaire de l’attaque du bus des Eperviers au Cabinda, qui a fait deux morts quelques jours avant l’ouverture de la Coupe d’Afrique des Nations en début d’année, se déplace en France.
Le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire, notamment pour assassinats en relation avec une entreprise antiterroriste.
Elle fait suite au dépôt de plainte de l’Angola, du Togo et des familles des victimes et vise directement le secrétaire général du groupe rebelle du Cabinda, le Flec-PM (Forces de libération de l'Etat du Cabinda/Position militaire), Rodrigues Mingas, un franco-angolais résidant en France.
Ce dernier avait, non seulement, revendiqué l’attaque mais appelé à la poursuite des actions militaires lors d’une interview sur RFI.