10 personnes, interpellées lors des manifestations organisées les 21 et 22 août à Lomé par le collectif d’opposition «Sauvons le Togo», ont été remis en liberté provisoire, a annoncé mercredi soir le Procureur de la République.
Toutefois, elles font l’objet de poursuites judiciaires pour atteinte à la tranquillité publique, destruction et dégradation de biens publics, violence volontaire et voie de fait.