Six organisations de défense des droits de l’homme au Togo ont lancé jeudi un ultimatum de 72 heures aux autorités pour exiger la libération de Sama Essohamlom, le PDG du groupement économique Redémare.
Passé ce délai, elles menacent de faire descendre leurs militants dans la rue pour protester contre cette détention jugée « arbitraire ».
Les activités de Redémarre ont été suspendues en juillet dernier et son directeur général placé en détention à la suite de forte suspicions d’arnaque pyramidale.