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A la Une mardi

L’Alternative fait une étrange lecture du discours prononcé il y a une semaine par le chef de l’Etat à l’occasion de la remise du rapport de la Commission « Vérité, justice et réconciliation ».

« Le discours de Faure Gnassingbé sans forces détails sur la question de culpabilité et de responsabilité est un soutien aux bourreaux,  une assurance à la récidive, une banalisation du crime », estime ce journal. Pourtant, de l’avis général, l’intervention a été un modèle d’ouverture dans le sens de la réconciliation.

Liberté publie une caricature dans laquelle on voit Faure Gnassingbé demander pardon au peuple togolais mais indiquer en même temps que c’était Abass Bonfoh qui était président au moment des violences de 2005. 

A propos de cette période de l’histoire du Togo, Me Atta Mensan Ajavon Zeus, l’avocat de Kpatcha Gnassingbé, explique dans les colonnes de Golfe Info qu’ « il croit en la parole de son client 

jusqu’à ce que je n’entre en possession de preuves irréfutables démontrant sa culpabilité ».

Quelles réparations pour les victimes des violences survenues dans le pays entre 1958 et 2005, se demande Nouvelle Opinion. 

« L’Etat trouvera-t-il les moyens idoines pour offrir des réparations à la hauteur des attentes des victimes et partant réussir à apaiser leur cœur ?»

Pour le futur, ce journal recommande de mettre l’accent sur les réformes de la justice et de l’armée.

Courrier de la République déplore le sort réservé aux fonctionnaires.

« Malgré les bons discours, les fonctionnaires togolais croupissent toujours dans la misère et la mendicité », écrit le journal.

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