Médias

A lire mardi

Liberté fait ses choux gras avec une lettre d’un «Collectif de solidarité avec les luttes sociales et politiques en Afrique»! qui demande à l’Union européenne de clarifier sa position vis-à-vis du gouvernement togolais  sur le processus électoral et sur les incendies des marchés de Kara et de Lomé.

Toujours à propos de l’UE, Kofi Yamgnane, dans des propos rapportés par le même journal, « critique les ambassadeurs du groupe des cinq et la hiérarchie de l’Eglise catholique sur la problématique des dialogues inter-togolais ».

Actu Express amplifie les déclarations du CST selon lesquelles le pouvoir tenterait des manœuvres pour empêcher les opposants de faire campagne.

Quant à L’Alternative il affirme que «  le duo RPT-UNIR/UFC manipule la justice à des fins électoralistes ». En d’autres termes si l’on comprend ce que veut dire le journal, l’inculpation récente de certains responsables de l’opposition aurait comme unique objectif de les neutraliser. 

Comme on peut le constater, une grande majorité de la presse affiche en toute liberté son hostilité au gouvernement et ce sont pourtant les mêmes journaux qui dénoncent les nouvelles prérogatives accordées par la loi à la HAAC. « Une loi liberticide », dénoncent Liberté et L’Alternive qui, jusqu’à présent, n’ont pas été inquiétés en dépit d’une violente hostilité à l’égard du pouvoir et la diffusion constante de fausses informations.

Si la liberté de la presse demeure un acquis, la HAAC entend cependant sanctionner les éventuelles dérives comme la l’atteinte à la vie privée et le recours trop fréquent aux rumeurs. Les journaux rigoureux et fidèles aux règles de la déontologie n’ont donc rien à craindre.

Selon L’Equipe Sportive, les défections se multiplient avant le match contre le Cameroun le 23 mars prochain. « Certains joueurs ne devraient être du voyage de Yaoundé, si l’on s’en tient au silence gardé par ces derniers depuis leur convocation ».

En rubrique faits divers, Forum de la Presse relate l’horrible histoire d’une fillette de 2 ans violée par un homme de 35 ans à Agoè-Togomé. Par ailleurs, un Ghanéen a été arrêté alors qu’il tentait de  convoyer sept mineurs vers Accra.

Pour que ce site Web fonctionne correctement et pour améliorer votre expérience d'utilisateur, nous utilisons des cookies. Retrouvez plus d'informations dans notre Gestion des cookies.

  • Les cookies nécessaires activent les fonctionnalités de base. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies et ne peut être désactivé qu'en modifiant les préférences de votre navigateur.