Elle assure la survie quotidienne d’importants groupes sociaux à revenus pratiquement inexistants. Brocanteurs, recycleurs d’objets divers, laveurs de voiture ou camelots de pacotille ont envahi les rues et les marchés de la capitale. C’est de l’économie informelle dont il est question vendredi dans L’Union qui estime que c’est « une nécessité qui fait loi ».
Mais face au développement exponentiel du secteur informel, les opérateurs du secteur formel s’inquiètent de plus en plus, souligne le journal.
Information additionnelle
L\'Union N°489.pdf
Télécharger