‘Homme d’affaire ambitieux et véreux, bien connu pour être un arriviste patenté, il est devenu président de la Fédération togolaise de football, faute à la cupidité destructrice de plusieurs acteurs de notre football qui ont choisi de tomber bas, très bas, en succombant à l’hameçon-pognon du diable’. La Symphonie ne fait pas dans la dentelle en publiant un portrait de Gabriel Ameyi, le patron du football togolais. Excessif, évidemment. La passion exercée par le football ne permet pas tous les débordements. Si ce journal a des griefs à formuler contre M. Amey, il peut utiliser un autre argumentaire.
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