Politique

A Genève, le Togo n'était pas devant un tribunal

Une démarche volontaire devant les responsables des Nations Unies

Christian Trimua, le ministre des Droits de l’homme, a présenté il y a une semaine le rapport du Togo au Comité contre la torture de l'ONU.

Il a détaillé les mesures prises par son pays appliquer la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Les conclusions de l’ONU seront connues le 9 août prochain. Les experts ont noté des avancées, mais ils ont également pointé du doigt des dysfonctionnements. On en saura plus d’ici quelques jours.

Interrogé vendredi par Kanal FM, M. Trimua s’est déclaré ‘satisfait du dialogue que nous avons eu puisque c'est un dialogue gagnant-gagnant et inter-amis. Je garde comme souvenir de ce comité, la volonté de coopérer avec le gouvernement et de l’accompagner par des observations pertinentes', a-t-il déclaré.

En dépit des remarques parfois critiques faites par les experts du Comité des droits de l’homme de l’ONU, le ministre a rappelé qu’il ne s’agissait pas d’un tribunal ou serait jugé le togo.

‘Le Comité n'est pas un adversaire, mais un ami qui est là pour accompagner les Etats comme le Togo à faire mieux ', a-t-il indiqué.

Une précision importante face au déluge d’informations inexactes et/ou partisanes diffusées dans la presse.

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