Politique

Chez certains députés ex-UFC, l’inquiétude gagne

«On ne peut pas démissionner par procuration. Les institutions sérieuses de la République, comme la Cour Constitutionnelle doit dire le droit », a déclaré lundi Eric Dupuy (photo), l’un des responsables de l’ANC à quelques de la décision de la Cour relative à la situation des députés ex-UFC ayant rejoint les rangs de l’ANC, un parti d’opposition extra-parlementaire nouvellement créé.

Les neuf élus concernés sont : Ouro-Akpo Tchagnao de Tchaoudjo, Atakpamey Kodjo Thomas Nobert de l’Ogou, Ameganvi Manavi Isabelle de Kloto, Lawson Patrick des lacs, Bruce Ahli Komla du Golfe, Fabre Jean-Pierre de Lomé commune, Ketoglo Yao victor de Zio, Manti Kwami de Wawa et Attipka Akakpo de Vo.

Si la Cour constitutionnelle valide le principe de la démission, ils seront remplacés par leur suppléant, respectivement Kpeky Touhtou, Tokoro Adignon, Segla Koffi Sényo, Kuevi-Koko Folly, Ananigolou Komlan, Olympio Adébléwo Kossi, Dokouvi Mensah Nathey, Koudodji Koffi Dankua et Aziakou Kodjo.
Les sortants seront également privés d’une indemnité mensuelle de 800.000 Fcfa ; la mesure sans doute la plus douloureuse.

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