Politique

La coalition braquée contre l'UFC

Des mois perdus

La coalition de l’opposition n’a pas l’intention d’entamer des discussions avec l’UFC concernant la répartition des sièges à la Commission électorale (Céni).

C’est ce qu’a martelé mardi Isabelle Améganvi, la présidente du groupe ANC à l’Assemblée.

Elle réclame 5 sièges et pas un pour l’UFC accusée d’être du côté du pouvoir en raison de sa participation à) l’équipe gouvernementale depuis 10 ans.

Avec des élus au Parlement, l’UFC estime au contraire avoir toute légitimité pour siéger à la Commission électorale ; ce qui est d’ailleurs prévu par le code électoral.

Le blocage semble donc total. Les députés attendent qu’une solution soit trouvée avant de réexaminer la liste des représentants introduite par la coalition.

Cette situation n’empêche pas la Céni de travailler. La recensement électoral débutera le 18 octobre dans la zone 2.

Tout doit être prêt pour les législatives prévues le 20 décembre.

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