Le président de l’Assemblée nationale, Abass Bonfoh (photo) a effectué une mise au point jeudi pour mettre un terme à la polémique suscitée par ses déclarations au bimensuel « Tribune d’Afrique ».
«Les événements douloureux de 2005, comme ceux ayant marqués notre difficile cheminement sur la voie de la démocratie, constituent des faits historiques que nul ne peut nier », a précisé le chef du législatif avant d’ajouter que ses propos avaient été sortis de leur contexte et déformés par des journaux et des stations de radio.