A la faveur des troubles politiques, le Parti national panafricain (PNP) s’est forgé une petite réputation qui lui a valu de rejoindre la coalition de l’opposition aux côtés d’autres formations, dont l’ANC.
Depuis août 2017, le PNP semble toutefois avoir un pied dedans et un pied dehors. Assez difficile de comprendre son positionnement.
Le parti a tenté jeudi de clarifier sa position. Son adhésion à la coalition ne signifie pas que la finalité de cette structure est destinée à devenir une formation unifiée, a indiqué son secrétaire général, Kossi Sama.
Sur ce point, tous ses membres sont à peu près d’accord. La perspective des élections présentielles en 2020 fait réfléchir certains.
Le PNP refuse de dire pour le moment si il quittera ou non la coalition.
‘Pour nous, l'urgence réside aujourd'hui dans la lutte du peuple pour obtenir les réformes, nous permettant ainsi de retrouver la constitution de 1992, et l'effectivité du droit de vote de la diaspora, avant toute élection', s’est contenté d’indiquer M. Sama.
Retour donc à la case départ pour ce parti.
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