Silencieux depuis l’élection présidentielle du 4 mars dernier au Togo, Gilchrist Olympio a publié jeudi depuis Paris un communiqué dans lequel il demande aux forces de sécurité de « faire preuve de retenue » et invite les autorités à faire respecter les « droits constitutionnels des citoyens ».
Ce message est une réponse à ceux qui, au sein de l’UFC, reprochaient à l’opposant historique son implication depuis la réélection de Faure Gnassingbé.
Mais les déclarations de M. Olympio sont essentiellement à usage interne d’autant qu’un Comité politique spécial de l’UFC doit se tenir dans quelques semaines pour remettre à plat les structures et le fonctionnement de l’UFC.