Politique

Pas question d’interdire la transhumance

Les pouvoirs publics n’envisagent pas d’interdire la transhumance, en dépit des conflits récurrents entre populations autochtones et paysans Peulhs.

Nous ne pouvons pas le faire, a expliqué lundi Gilbert Bawara (photo), le ministre de l’Administration territoriale. ‘D’abord, le Togo est lié par des conventions avec d’autres pays de la région. Ensuite, le Togo demeure une terre d’accueil et d’hospitalité. Enfin, les besoins de notre pays en matière de produits carnés ne sont pas couverts par la production nationale. Le bétail togolais ne suffit pas à couvrir les besoins de la population. L’objectif n’est donc pas d’interdire, mais de mieux gérer’.

Les autorités souhaitent renforcer la coopération avec les pays d’origine pour faire respecter les périodes de transhumance (15 janvier-15 mai). Le gouvernement va également procéder à la redéfinition des points d’entrée sur le territoire et préciser les couloirs de transit et de pâturage autorisés.

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