Politique

Réaction attendue

La démocratie a ses règles qu'il faut respecter

Pour la coalition de l’opposition, pas question d’organiser les élections prévues cette année. Il s’agit du scrutin législatif et local et sans doute d'une consultation référendaire. 

‘Nous demandons au gouvernement d’arrêter ce qui est en train de se faire là. On ne peut pas être dans une situation de crise et aller à des élections sans avoir réglé les problèmes internes. C’est du replâtrage, c’est une fuite en avant’, affirment les opposants ;

L’organisation de ces consultations est pourtant un impératif constitutionnel. Les députés – dont un bon nombre issus de l’opposition – sont élus pour 5 ans. Leur mandat s’achève en 2018, crise politique ou pas, il faut faire des élections.

La commission électorale (Céni) est à la tâche pour procéder à la révision du fichier électoral et pour l’installation des commissions locale. Processus tout à fait légal.

Du côté des opposants, on estime que les préparatifs en cours ‘ne feront qu’exacerber la crise’. Ils espèrent que le prochain dialogue permettra de parvenir à un consensus pour décrisper l’atmosphère.

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