Le président de l’Assemblée nationale, Abass Bonfoh (photo), a piqué une grosse colère face aux interprétations des médias privées sur une "pseudo-condamnation des autorités togolaises par l’Union interparlementaire (UIP) à propos des 9 députés ex-UFC exlus en novembre dernier ».
M. Bonfoh a donné lecture aux élus lors de la séance de mardi d’un courrier que le comité de l’UIP lui a adresse à ce sujet.
« Nulle part il n’a été question dans cette lettre que les 9 députés révoqués retrouvent leur siège au parlement », a souligné M. Bonfoh. Et de lancer cet avertissement : « Les journaux ont commencé par l’interpréter comme ils veulent, ne vous inquiétez pas nous allons y faire face.
«Le comité de l’UIP a vivement apprécié l’opportunité qu’il a lors de sa session à Panama de s’entretenir de vive voix avec votre délégation pour échanger des vues sur cet acte », peut-on lire dans la lettre de l’UIP.
Bref, les ex-députés n’ont plus qu’à se trouver un autre job.