Santé

Planification familiale : il y a urgence

Entre 20 et 30% des femmes de la sous-région qui souhaitent différer leurs grossesses ou arrêter d’avoir des enfants n’ont pas accès à une méthode de contraception sûre et efficace.
En Afrique subsaharienne, le risque pour une femme de perdre sa vie au cours d’une grossesse ou d’un accouchement demeure élevé avec un ratio de 1 pour 26. Environ 13 % des décès sont attribués à des interruptions de grossesse mal pratiquées et en l’absence d’un suivi sanitaire adéquat.
Suffisant pour que les neuf pays d’Afrique de l’Ouest francophones sonnent la mobilisation à travers une conférence internationale sur la planification familiale qui s’est achevée jeudi à Ouagadougou ; conférence à laquelle participait le ministre togolais de la Santé, Komlan Mally (photo).
"La rencontre nous a permis de partager nos expériences et de définir des actions concrètes en vue d'améliorer l'accès, l'utilisation et la qualité des programmes de planification familiale", a déclaré M. Mally de retour à Lomé.

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