Le Collectif des syndicats de la Zone franche, qui avait appelé ses adhérents à observer une grève mardi, est revenu sur sa décision. Dans un communiqué lu à la télévision lundi, il explique que des pourparlers se poursuivent avec le ministre du Travail.
Les salariés de cette zone à statut particulier souhaitent parvenir au même niveau de rémunération que le reste des travailleurs.
Laurent Tamegnon, le président de l'association des entreprises de la Zone franche du Togo, avait indiqué qu’un moratoire de 6 mois avait été demandé par les employeurs afin de leur permettre d’adapter les budgets aux nouvelles contraintes salariales.