Un ressortissant togolais a été enlevé dans la nuit de mercredi à jeudi avec cinq autres Français et un Malgache dans la région d’Arlit (nord du Niger).
Le ministère des Affaires étrangères à Lomé est en contact étroit avec la cellule de crise du Quai d’Orsay à Paris.
Les personnes kidnappées travaillent pour les sociétés françaises Areva (uranium) et Satom (travaux publics).
Ce rapt pourrait être l’œuvre d’éléments d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) ou de simples bandits qui revendent ensuite leurs otages aux jihadistes ou contre une rançon.