Au Togo, les femmes subissent toujours des violences psychologiques et corporelles. C’est le résultat d’une étude publiée par le Réseau des organisations féminines d’Afrique francophone (ROFAF).
On ignore le nombre de victimes dont la plupart ne déposent pas plainte. En revanche, on a une idée plus précise du type de sévices pratiqués.
Les violences institutionnelles (pressions psychologiques) représentent 96% des cas. Les violences physiques, 94%, les violences sexuelles, 93% et les violences économiques 79%.