Société

Il n’y a pas de fatalité

640 personnes sont mortes sur les routes togolaises en 2013 et 7.638 ont été blessées plus ou moins gravement. Le ministre de la Sécurité, Yark Damehane, a déploré ces chiffres. ‘Le Togo est-il est guerre pour aboutir à un tel bilan ?’, s’est-il exclamé lors une interview à la télévision.

Il a appelé les automobilistes au respect du code de la route ; il les a également invité à respecter la réglementation concernant l’entretien des véhicules ou les surcharges. Mais sans contrôle vigilant de la police et des sanctions à la clé, cette mise en garde risque de rester un vœu pieux.

De nombreux accidents pourraient être évités et de nombreuses vies sauvées si les conducteurs faisaient preuve de davantage de responsabilité. 

Des campagnes de prévention assorties d’un contrôle strict pourraient susciter une prise de conscience, mais cela prendra des années.

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