Société

Le smartphone, fossoyeur des photographes togolais

Un amateur ne remplacera jamais un pro de la photo

Tous les photographes togolais ne sont pas des Malick Sidibé, mais beaucoup ont du talent. Sauf que le métier se meurt.

Avec le développement des smartphones et leur résolution de plus en plus fine, de nombreux clients ne voient plus d’intérêt à les faire travailler pour un mariage, une communion ou des évènements heureux.

Il y a encore quelques années, la profession était florissante ; elle est aujourd’hui sinistrée.

‘C'est la galère. Le métier n'est plus comme avant. Il faut trouver un autre job qui n’a rien à voir pour pouvoir survivre’, explique Kodjo Akakpo, un professionnel qui a suivi des cours de photos pendant 2 ans.

On ne le dira jamais assez, les téléphones portables ne sont pas des appareils photos et seul l’expertise peut permettre la réalisation de beaux clichés.

Mais qui s’intéresse encore à l’esthétisme ?

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