Société

Victimes collatérales

Les habitants d’Agoè-Sivodomé (banlieue nord-est de Lomé) redoutent d’être les victimes des exercices militaires sur le champ de tir tout proche où de jeunes recrues se familiarisent au maniement des armes.

«Nous recevons des balles perdues. Nos toits sont perforés. Nous avons adressé des courriers au ministère de la Défense, à l’Etat major des forces armées, mais nous n’avons pas encore eu gain de cause », explique Kpokanu Koami, porte-parole des riverains.

Le champ de tir, jadis situé en rase campagne, est désormais cerné par les habitations en raison de l’urbanisation galopante de la capitale du Togo.

Les habitants demandent son transfert à l’extérieur de la ville vers une zone sans danger pour la population.

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