Sport

Quel malheur s’abat sur le foot togolais ?

« Le 8 janvier 2010 à 14 heures 15 au kilomètre 7 dans l’enclave angolaise de Cabinda, Stanislas O’ocloo et Ameleté Abalo sont tombés morts dans l’exercice de leur fonction. Cette attaque meurtrière me restera absurde, inoubliable et révoltante ».
Cet extrait du témoignage du médecin des éperviers, le capitaine Ouadja déclenché les larmes du public.
A l’occasion de l’hommage national rendu vendredi aux victimes de Cabinda sur l’esplanade du Palais des congrès de Lomé, le chef de l’Etat, Faure Gnassingbé a accompli le traditionnel rituel : dépôt de gerbe, inclinaison devant les cercueils, décoration à titre posthume, puis condoléances aux familles.
Plusieurs intervenants dont Rock Gnassingbé membre de la FTF (Fédération togolaise de football), le capitaine des éperviers, Shéyi Adébayor et le ministre en charge des Sports, Christophe Tchao ont rendu hommage aux disparus.
« Nous proposons d’édifier une stèle en mémoire des victimes de Lungi et de Cabinda », a souhaité le Colonel Rock.
Un match amical oppose vendredi après-midi la sélection nationale et les journalistes du Togo au stade municipal de Lomé. Les fonds collectés lors de la rencontre seront versés aux familles des victimes.

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