Une étude réalisée en Ouganda révèle que des moustiquaires imprégnées d’insecticide, associées à un nouveau produit chimique, pourraient réduire les cas de paludisme d’environ 25%. Information à lire mardi dans L’Union.
Le Togo fait une large utilisation des moustiquaires imprégnées. Les résultats sont satisfaisants, mais ils n’atteignent pas 25%.
A cela une raison, expliquent les experts, leur impact sur la lutte antipaludique est moins important que prévu parce que les moustiques sont de plus en plus résistants aux insecticides appelés pyréthroïdes.
Information additionnelle
L'Union 1292.pdf
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