La répartition des sièges à la Commission électorale nationale indépendante (Céni) a remis au gout du jour un vieux débat sur les critères pour être considéré comme opposant au Togo, souligne mercredi Le Libéral.
Le pays s’est doté d’une loi très précise portant sur le statut de l’opposition parlementaire. L’hebdo commente les articles du texte qui permettent de mieux comprendre qui appartient à quel camp.
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