Politique

Rappel à l’ordre

Les forces de sécurité sont intervenues mercredi soir au siège de l’UFC où elles ont procédé à de brèves interpellations et à quelques arrestations.

Les arrestations concernent surtout des éléments perturbateurs. « Il s'agit de jeunes qui sont venus des camps de réfugiés d'Agamé (Bénin) et d'autres pays étrangers, qui veulent semer le trouble. Pour nous, il est important d'agir », a expliqué le chef d'escadron de la gendarmerie, Amana Kodjo.
Le parti d’opposition entendait organiser une veillée pour dénoncer une nouvelle fois les résultats de l’élection présidentielle du 4 mars dernier.

Toutefois, les manifestations sont interdites en semaine pour ne pas gêner l’activité économique et la circulation des habitants. Des dispositions que ne pouvaient ignorer les responsables de l’UFC.


En revanche, la liberté de manifester est totale le week-end ; ce que ne se prive pas de faire ce mouvement avec des marches tous les samedis depuis plusieurs semaines.

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