A la veille de la rentrée parlementaire, les organisations de défense des droits humains demandent d’adoption d’une nouvelle loi sur la Zone franche pour mettre fin à l’exploitation du personnel, aux licenciements abusifs et à l’absence de protection sociale.
Ces organisations souhaitent également qu’une solution favorable soit trouvée pour la centaine d’employés de la société Sprukfield, victimes d’un licenciement collectif. Un comité interministériel a été mis en place par le Premier ministre il y a plusieurs mois. Mais pour Christophe Adry (photo), le porte-parole des organisations de défense, rien n’a bougé depuis.
« Une nouvelle loi sur la zone franche sera une bouffée d’oxygène pour tous les travailleurs car elle permettra de mettre définitivement le régime de l’emploi dans ce secteur sous les dispositions du code de travail général», expliqu M. Adry.