Coopération

Il faut traiter le mal à la racine

Il y a quelques jours, le Togo faisait la douloureuse expérience de la montée de l’extrémisme dans la région avec l’attaque d’une position militaire.

Proposer des alternatives aux populations locales © republicoftogo.com

Il y a quelques jours, le Togo faisait la douloureuse expérience de la montée de l’extrémisme dans la région avec l’attaque d’une position militaire par un groupe armé venu du Burkina Faso.

La menace est sérieuse.

Le terrorisme et la radicalisation se sont développés ces dernières années. Ils ont des ramifications locales. Il faut traiter le mal à la racine’, a déclaré lundi Mactar Fall, le représentant résident adjoint du PNUD lors d'une rencontre avec des journalistes.

Il présidait une réunion organisée à Sokodé (350km de Lomé). Réunion au cours de laquelle il a indiqué que l’ONU était engagé à accompagner le Togo pour étouffer les germes du radicalisme et de l’extrémisme violent dans le pays.

Le PNUD préconise un renforcement de l'autorité de l'Etat et une gouvernance de proximité au niveau local. Sans oublier l’approche régionale. 

En raison de la porosité des frontières, le problème concerne aussi les pays voisins. Tout est lié.

‘La prévention de l'extrémisme violent doit aller au-delà des préoccupations de sécurité strictes mais également se concentrer sur les causes profondes et proposer des solutions idoines pour atténuer, sinon juguler ce phénomène à travers des processus participatifs et inclusifs’, a déclaré Yark Damehane, le ministre de la Sécurité.

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