Eco & Finance

Néobanques, crypto, mobile money : les inquiétudes du GIABA

Journées portes ouvertes ce jeudi organisées par le Groupe intergouvernemental d'action contre le blanchiment d'argent en Afrique de l'ouest (GIABA).

La traque s'avère de plus en plus compliquée © republicoftogo.com

Journées portes ouvertes ce jeudi organisées par le Groupe intergouvernemental d'action contre le blanchiment d'argent en Afrique de l'ouest (GIABA).

L’objectif de cet organisme dépendant de la Cédéao est de protéger les économies nationales et les systèmes financiers et bancaires contre les produits du crime et de lutter contre le financement du terrorisme.

'Le GIABA reste déterminé à soutenir ses Etats membres, malgré un contexte hautement miné par l'insécurité intérieure, régionale et internationale, le manque de paix, l'instabilité politique, économique et financière’, a déclaré indique Régina Bande, l’une des responsables du Groupe.

Barros Bachar Banjai, représentant de la Cédéao au Togo, a rappelé que les groupes terroristes prospéraient en bénéficiant de nombreux appuis, notamment auprès des jeunes vulnérables.

Le GIABA est confronté à de nombreux problèmes parmi lesquels les cryptomonnaies et le mobile money qui facilite les transferts de fonds d’un pays à l’autre sans un réel moyen de surveillance. A cela s’ajoutent les néobanques qui bouleversent le monde de la finance traditionnelle et qui rendent la traçabilité encore plus compliqué. 

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