
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Kanka-Malik Natchaba, a lancé mercredi à l’Université de Lomé un colloque international sur le thème « Langages silencieux : contextes, enjeux et dynamiques communicationnelles en Afrique ».
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Kanka-Malik Natchaba, a lancé mercredi à l’Université de Lomé un colloque international sur le thème « Langages silencieux : contextes, enjeux et dynamiques communicationnelles en Afrique ».
Cette rencontre scientifique réunit des experts de 12 pays africains, mais aussi d’Inde, de France et des États-Unis. Chercheurs en linguistique, communication, anthropologie ou psychologie, tous viennent interroger la puissance des langages non-verbaux dans les sociétés africaines.
Dans son discours d’ouverture, le ministre a souligné que ces formes de communication — gestes, silences, postures — représentent près de 80% des échanges dans les sociétés africaines.
« L’étude de ces langages invisibles n’est ni marginale ni folklorique. Elle est centrale pour penser des politiques publiques enracinées dans nos réalités culturelles », a-t-il affirmé.
Tables rondes, ateliers pratiques et échanges interdisciplinaire marquent ce colloque dont l’objectif est clair : replacer les codes silencieux au cœur du développement social, de la prévention des conflits et de l’inclusion.
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