Environ 70% des personnes détenues dans les prisons togolaises sont prévenus ou inculpés, c’est à dire pas encore jugées, indique mardi L’Union.
Le Journal s’appuie sur un rapport publié par la CNDH dont les membres ont visité la plupart des centres pénitentiaires.
Une situation liée à la lenteur des procédures et à l’engorgement des tribunaux.
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L'Union N°1448.pdf
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