
Le report de la tenue des élections législatives de 2023 au premier trimestre 2024 n’est pas un problème. D’autant que cette possibilité est contenue dans la constitution.
Le report de la tenue des élections législatives de 2023 au premier trimestre 2024 n’est pas un problème. D’autant que cette possibilité est contenue dans la constitution.
L’opposant Jean Kissi rappelle que cette situation s’était déjà produite en 2018.
Il veut juste comprendre les raisons du report. Il reproche au gouvernement et à la Commission électorale de ne pas avoir donné les raisons du report.
Si tout va bien, le scrutin aura lieu à la fin du premier trimestre 2024.
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