
Louis Michel, l’ancien Commissaire européen, aujourd’hui député au Parlement de Strasbourg et membre d’une délégation d’observation de l'Union européenne (UE) au Togo, a dénoncé samedi les critiques récurrentes sur sa supposée partialité et sa connivence avec les autorités.
Il répondait à un journaliste du Burkina qui l’interrogeait sur des rumeurs laissant entendre qu’une société dirigée par l’un de ses fils aurait fourni du matériel informatique à la Céni.
« Mes fils ne font pas d’affaires, ils ne dirigent pas de sociétés et ne siègent à aucun conseil d’administration ; ils font de la politique », a déclaré M. Michel, outré par ce genre d’informations qui circulent depuis des années. Il a mis en garde tous ceux qui colportent ces fausses nouvelles et qui portent atteinte à son honneur, menaçant de les trainer devant les tribunaux.
« Mon souci a toujours été de développer les relations entre l’Union européenne et le Togo pour le bien des Togolais. J’ai toujours entretenu le dialogue avec le pouvoir comme avec l’opposition », a encore indiqué le député européen.
Louis Michel a déclaré à republicoftogo.com que ces « ragots » ne concernaient pas seulement le Togo. « Vous savez, dans chaque pays africain, on me prête des choses extravagantes. Au Congo, par exemple, il y a des informations qui circulent absolument ridicules. Au bout d’un certain temps, on commence par en avoir marre ».
M. Michel a regagné Bruxelles dimanche.
Pour que ce site Web fonctionne correctement et pour améliorer votre expérience d'utilisateur, nous utilisons des cookies. Retrouvez plus d'informations dans notre Gestion des cookies.
Les cookies nécessaires activent les fonctionnalités de base. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies et ne peut être désactivé qu'en modifiant les préférences de votre navigateur.