Santé

Le paludisme tue un peu moins

Un peu oublié pendant la pandémie de Covid, le paludisme n’a malheureusement pas disparu.

Les participants lundi à Lomé © republicoftogo.com

Un peu oublié pendant la pandémie de Covid, le paludisme n’a malheureusement pas disparu.

Le taux de prévalence est de 300 cas pour 1.000 habitants et 82 décès sur 100.000 personnes chaque année dans les pays membres de la Cédéao.

L’Organisation ouest-africaine pour la santé (OOAS) tient une réunion régionale depuis lundi à Lomé.

‘L’absence de données précises ne favorise pas une bonne affectation des ressources. Cette rencontre nous permettra de mieux suivre la situation sanitaire dans l’Espace’, a indiqué Sani Ali, directeur de la Planification et de l’information sanitaire à l’OOAS.

Selon le Dr Tinah Atcha-Obou, coordonnateur du Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP), le Togo a pu réduire de 40% le nombre de décès grâce à une prise en charge rapide dès les premiers symptômes.

Les moustiquaires imprégnées et les traitement anti-palu sont les deux armes disponibles en attendant l’arrivée d’un hypothétique vaccin.

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