Le nord du Burkina Faso a été frappé dans la nuit de vendredi à samedi par deux attaques dont l’une a fait au moins 138 morts, la plus meurtrière dans ce pays depuis le début des violences djihadistes en 2015
Ces attaques ont été commises dans la zone dite ‘des trois frontières’ entre Burkina, Mali et Niger, régulièrement ciblée par des assauts meurtriers de djihadistes présumés liés à Al-Qaïda et à l’État islamique contre des civils et des militaires.
Le président Faure Gnassingbé s’est déclaré dimanche profondément attristé par les nombreuses pertes en vies humaines.
‘Je condamne avec vigueur l’attaque terroriste (…) J’adresse mes sincères condoléances à au président Kaboré (…) Le Togo demeure résolument engagé aux côtés du Burkina Faso pour lutter contre le terrorisme et l’extrémisme violent’, a déclaré M. Gnassingbé.