Le commerce transfrontalier commence à ressentir les effets de la crise sanitaire.
‘Les activités de dédouanement ont considérablement chuté et les recettes ont baissé', a reconnu jeudi Moïse Akaya, le chef bureau de l’OTR (Office togolais des recettes) au port de Lomé.
Le trafic portuaire a diminué depuis un mois et même si les frontières terrestres restent ouvertes aux marchandises, la consommation dans la sous-région marque le pas.
Lomé est un hub logistique qui sert les pays de l’hinterland (Burkina Faso, Mali et Niger).
Une position qui est aussi un baromètre de l’activité économique dans la zone.