Le ministre des Mines et de l'Energie, Noupokou Dammipi, a ouvert mardi à Lomé, un séminaire consacré à la sécurisation du gazoduc de l'Afrique de l'Ouest. Une trentaine de participants du Togo et du Bénin suivent les travaux et les explications relatifs aux dispositifs de sécurité envisagés pour protéger le pipeline long de 1.033 kilomètres.
Une réunion de même nature s'était déroulée à Accra la semaine dernière.Le ministre Dammipi s'est félicité des efforts consentis par les gouvernements du Nigeria, du Bénin, du Ghana et du Togo pour rendre ce projet effectif avant la fin de l'année 2009.
Premier projet transfrontalier, le gazoduc pourra transporter, à travers une canalisation haute pression, du gaz naturel en provenance du Nigeria vers les clients du Togo, du Bénin et du Ghana.
Pour éviter des collisions éventuelles avec des navires, les installations reposent à des profondeurs atteignant parfois cent mètres et à une distance de 15 à 20 km des côtes.
Le tracé figure désormais sur les cartes maritimes qui sont distribuées
à l'ensemble des autorités maritimes et aux responsables portuaires des pays concernés. Enfin, des bouées seront installées tout le long du pipeline pour le signaler aux bateaux.
L’ambassadrice de France et le directeur de l'AFD ont assisté vendredi au lancement du projet PASSCO II.
Le deuxième inventaire forestier débutera le 1er mars, a annoncé vendredi le ministère de l’Environnement.
L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) fournira des kits de production à 900 foyers agricoles vulnérables.
Quatre millions de Togolais sont concernés par cette couverture santé.
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