Les pêcheurs retrouvent le sourire. L’activité côtière se porte un peu mieux avec 1.000 tonnes au premier semestre.
Mais on est encore très loin des 25.000 tonnes annuels escomptés pour faire tourner la filière.
Un nouveau port de pêche, financé par le Japon, est opérationnel depuis quelques mois.
Mais les professionnels sont confrontés à deux problèmes. Il y a d’abord les fonds marins qui sont de moins en moins riches et ce qui reste est souvent pillé par les navires-usines battant pavillons asiatiques.
Il a y ensuite la vétusté des équipements. De vielles pirogues sont moyens électroniques susceptibles d’aider les pêcheurs.