Justice

Trouver une alternative à la prison

Priorité à la réinsertion quand c'est possible

Des mineurs sont en détention. Est-ce la bonne solution pour favoriser la réinsertion ?

Pas forcément.

L’idée est de développer des centres de ‘rééducation’ adaptés, sans le poids de l’univers carcéral.

Les efforts menés par le ministère de la Justice ont permis de réduire de manière significative le nombre de mineurs incarcérés. Ils sont 60 aujourd’hui, contre près de 500 il y a 5 ans.

‘La plupart des jeunes en conflit avec la loi sont des enfants des rues. Ils n'ont pas reçu d'éducation parentale. C’est un vrai problème’, explique Mari Takou, responsable du service social à la prison civile de Kara (nord).

Les villes de Lomé et de Kara disposent de deux centres de réinsertion. Il existe également des unités privées dirigées par des ONG.

Certains replongent rapidement dans la délinquance après un séjour sur place. 

Une situation compliquée à gérer.

Des enquêtes effectuées indiquent que les taux de récidive les plus élevés se rencontrent chez les jeunes et que le taux de récidive est inversement proportionnel au niveau d’éducation.

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